19th Nov 2020 Reading Time: 2 mins Share by Paul Eddison Il y a sept ans Gaël Fickou faisait ses débuts avec le XV de France alors le trois-quarts est bien placé pour évaluer l’apport du nouveau staff des Bleus. Fickou, qui n’a toujours que 26 ans, est le joueur le plus expérimenté du XV de France et a déjà connu quatre sélectionneurs. Et selon lui, le staff de Fabien Galthié, avec des spécialistes pour chaque rôle, met les joueurs dans les meilleures conditions pour s’épanouir. Dans un entretien avec L’Equipe, il a dit : « On dispose d’une très bonne génération, même s’il y a toujours eu des joueurs de talent en équipe de France, mais ce qui fait la différence, c’est qu’on bénéficie d’un staff plus étoffé. Chaque secteur dispose de son spécialiste alors qu’avant, il y avait le sélectionneur, un mec pour les avants et un autre pour les trois-quarts. « Il y a aussi les conditions de travail. À mes débuts, Philippe Saint-André demandait déjà d’avoir plus de joueurs à disposition lors des rassemblements pour mieux bosser, ou d’arriver quinze jours avant le premier match. Avant cela, tu débarquais la semaine du match, tu faisais deux entraînements et hop, tu jouais ! Beaucoup de choses ont été mises en place pour nous permettre de progresser, d’être plus performants. Enfin, l’expertise de Fabien (Galthié) est déterminante. Tout est analysé, plus précis, on s’entraîne beaucoup plus dur aussi. Il y a quatre ans, on ne s’entraînait pas comme aujourd’hui. Le curseur a été relevé. Tout ça, mis bout à bout, permet d’avoir de meilleurs résultats. » Les Bleus se déplacent en Ecosse ce week-end où ils ont perdu lors du Tournoi des Six Nations, et savent qu’il faudra gagner pour garder son destin en main. Et Fickou a expliqué comment la préparation des matchs a changé pour les Bleus depuis l’arrivée de Fabien Galthié et son staff. Il a dit : « Avant, on ne faisait jamais de contact dans la semaine, on ne faisait jamais autant de courses. Parfois, ça nous arrive de penser qu’on va être cramés pour le match. Mais finalement, non. On récupère très bien. Un match de haut niveau demande tellement d’intensité et de précision que c’est devenu une obligation de s’entraîner ainsi. Ça permet de retrouver des repères, des attitudes de match sous fatigue, sous pression. Sinon, tu ne peux pas rivaliser. C’est éprouvant, mais on l’a compris. » Related News preview 15th Jul 2022 Avant-première: France v Japon Tags: France Previous Story Ryan nouveau capitaine de l’Irlande Next Story Ford de retour sur le banc More News News Le troisième ligne irlandais Caelan Doris élu Meilleur Joueur de... 30th Nov 2021 News Votez pour le Meilleur Joueur de l’Autumn Nations Series 25th Nov 2021 News Le meilleur des réseaux sociaux après la victoire de la... 21st Nov 2021 More News Google Ad – 300×100